Quand les banques s’adaptent aux besoins des freelances

Freelance, Homo numericus, Digital nomade, SBF (sans bureau fixe), freelance-salarié, consom’acteur, néobanque, plateformes freelancing ; autant de termes qui témoignent de la profondeur de la mutation des modes de vie et de travail. Les historiens parlent d’une nouvelle adaptation de l’humanité à une n-ième révolution. De notre ère, il s’agit de révolution numérique.
Notre focus sera consacré au phénomène du freelancing, et plus particulièrement aux offres sur-mesure conçues par les banques pour satisfaire les besoins particuliers de ces entrepreneurs bien singuliers : les freelances.
Travailler en freelance, c’est quoi ?
Qu’est-ce qu’un freelance ? Il s’agit d’un anglicisme traductible en travailleur indépendant, pigiste ou encore travailleur autonome (terme utilisé au Canada pour désigner un free-lance). Le statut de freelance exclut tout contrat de type CDD ou CDI. Le freelancing est une prestation de services (ou missions dans le langage des travailleurs indépendants) facturée à un client.
Le travail en freelance a connu beaucoup de succès ces dernières années. Aux États-Unis, le ratio « un freelance pour trois travailleurs » a été dépassé sous Obama, alors qu’en France le taux d’évolution enregistré depuis 2010 est de 110 %.
Cette nouvelle forme de travail attire beaucoup de talents, parfois par nécessité (chercheurs d’emploi), mais le plus souvent par attachement à la liberté et à l’indépendance. La promulgation du régime socio-fiscal « micro-entrepreneur » en France a boosté le freelancing.
Cet engouement ne serait pas possible sans la démocratisation de l’accès à Internet et aux appareils numériques. De même, l’émergence de nouveaux services et acteurs numériques a rehaussé l’attrait du travail indépendant. Il s’agit des plateformes de freelancing, d’espaces de coworking et de néobanques ou banques en ligne.
Une néobanque, c’est quoi ?
Une néo-banque est un établissement financier qui offre des services dématérialisés (100 % en ligne) sans être adossé à une banque traditionnelle. Le succès de ces nouveaux acteurs du marché des comptes numériques a incité les banques classiques à ouvrir leurs propres banques en ligne. Certaines néobanques n’ont pas de licence bancaire, il s’agit plutôt d’intermédiaires financiers.
Le business modèle des néobanques est l’œuvre des startups de la fintech (finance/technologie). Ces férus de l’économie numérique ont su proposer des packs adaptés aux besoins et attentes des freelances. Rien de plus normal ! D’une part, ils partagent la même passion pour les appareils et les solutions numériques innovantes et d’autre part les métiers du Web s’accaparent d’une grande part du marché du freelancing.
La néobanque Qonto est la parfaite illustration de l’heureux mariage freelance/banking online.
Comment Qonto répond aux besoins banking des freelances ?
Tout d’abord, commençons par préciser que Qonto est un établissement de paiement supervisé par la Banque de France, que tous les dépôts numériques sont sécurisés chez Crédit Mutuel Arkéa et couverts par le FGDR.
La procédure d’ouverture d’un compte Qonto se fait en quelques minutes depuis un ordinateur ou un smartphone : aucun déplacement ou document print n’est exigé.
Le compte pro freelance Qonto inclut tous les services et fonctionnalités à même de permettre aux travailleurs indépendants de se consacrer au cœur de leur activité et passion. Les fondateurs de Qonto ont conscience que les travailleurs autonomes n’aiment pas trop la « paperasse ». Aussi, ils ont conçu une offre pro freelance alliant globalité et simplicité à l’économie des frais. C’est ce qui explique son succès auprès de la communauté des freelances, comme en témoigne la notation sur son appli et les témoignages des clients.
Le pack Qonto pour les freelances inclut :
- Compte courant professionnel avec un IBAN français : le tarif du compte est 9 euros HT/mois ;
- Carte Mastercard business internationale : le plafond de retrait équivaut à 1000 euros et celui de paiement à 10.000 euros ;
- Assistances et Assurances Mastercard Business : couverture pour le voyage et les achats sur le net ;
- Virements et prélèvements SEPA ;
- Virements hors SEPA autorisés ;
- 20 virements ou prélèvements par mois sans commission ni plafond ;
- Dépôts de chèques : option payante à 2 euros le chèque encaissé dans la limite de 10.000 euros/mois ;
- Terminal de paiement en option ;
- Connexion à Stripe ;
- Application mobile et Web : intuitive, présentant toutes les fonctionnalités pour un bon traitement des opérations bancaires, une gestion financière et une intégration de la comptabilité (insertion des factures et notes, compatibilité avec des logiciels comptable, etc).
Pas étonnant que Qonto soit plébiscitée par les travailleurs indépendants : elle leur garantit plus de liberté et moins de frais !